Subject: [netbsd-docs-fr]Un doc a relire.
To: netbsd-docs-fr <netbsd-docs-fr@guinness.cs.stevens-tech.edu>
From: Adrien Auzanneau <ada@netbsd-fr.org>
List: netbsd-docs-fr
Date: 11/30/2002 16:50:10
--uAKRQypu60I7Lcqm
Content-Type: text/plain; charset=unknown-8bit
Content-Disposition: inline
Content-Transfer-Encoding: 8bit

Rheu bonjour,


Ci joint document a relire.
Il n'a jamais été relu. 
Si qq1 veut bien se charger de sa premiere relecture:

index.list (network/pppoe/)
appellé pppoe.list en piece jointe pour pas se perdre.


et un deuxieme, deja relu, auquel j'ai appliqué les modifs du relecteur
et revu certains details.

Si guillaim peut le relire une derniere fois, compléter l'en tete et le
commit.

bootcd.list
appellé bcd.list en piece jointe



PS: je ne met pas les versions en debit de fichier (based on english
version) car il semblerait que les versions originales changent
plusieurs fois avant la fin de la trad...


Bon weekend.

Je suis partit a traduire : power-mgmt/index.list

@+

-- 
Adrien Auzanneau
http://www.netbsd-fr.org/

--uAKRQypu60I7Lcqm
Content-Type: text/plain; charset=unknown-8bit
Content-Disposition: attachment; filename="bcd.list"
Content-Transfer-Encoding: 8bit

<!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN">

<!-- Based on english version:
        NetBSD: bootcd.list,v 1.40 2002/10/05 14:26:10 grant Exp -->

<html lang="fr">
<head>
<!-- Copyright (c) 2000-2002
	par la Fondation NetBSD, Inc.  TOUS DROITS R&Eacute;SERV&Eacute;S. -->
<link rev="made" href="mailto:www@NetBSD.ORG">
<link rel="shortcut icon" href="/favicon.ico" type="image/x-icon">
<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=ISO-8859-1">
<title>Graver un cédérom NetBSD démarrable</title>
</head>
<body bgcolor="#FFFFFF" text="#000000">
<HEADING>Mini-Guide cédérom démarrable

<LIST>

<SECTION>Départ

<ENTRY>introduction Introduction et but

Ce document explique comment faire un cédérom NetBSD démarrable.

<SECTION>Création de l'image du cédérom
La première étape consiste à créer l'image du cédérom. Il sagit d'un
fichier (assez gros, jusqu'à 650Mo) enregistré sur votre disque dur et
déstiné à être gravé.  

Dans ce chapitre, nous allons utiliser le programme 
<tt>mkisofs</tt>. Si vous travaillez sur un système NetBSD, vous pouvez
l'installer à partir du paquetage <PKGSRC>sysutils/cdrecord.


Considérons que le répertoire <tt>/agraver</tt> existe sur votre système et
qu'il contient tous les fichiers que vous voulez trouver sur le futur
cédérom.
Nous vous conseillons d'utiliser la même structure que celle existante
sur <a href="ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/NetBSD-1.5.3/">ftp.netbsd.org</a>.
Par exemple : 
<pre>
  /agraver/i386/.....
  /agraver/sparc/.....
</pre>


<ENTRY>alphaimage NetBSD/alpha
Deux étapes sont nécessaires pour créer un cédérom démarrable
NetBSD/alpha.
La première consiste à créer l'image ISO 9660 contenant tout ce que vous
voulez placer sur le cédérom.
Vous devez avoir le noyau et le second programme de démarrage à la
racine. Par ailleur le premier programme de démarrage sera requis à la
deuxième étape. Pour mettre le noyau et les programmes de démarrage au
bon endroit, faites:
<pre>
  cd /agraver/alpha/binary/sets
  tar -zxvf base.tgz ./usr/mdec/boot ./usr/mdec/bootxx_cd9660
  mv -f ./usr/mdec/boot /agraver/boot
  mkdir /tmp/mdec.alpha
  mv -f ./usr/mdec/bootxx_cd9660 /tmp/mdec.alpha/bootxx_cd9660
  rmdir ./usr/mdec
  cd /agraver/alpha/installation/instkernel
  cp -f netbsd.gz /agraver/netbsd.gz
</pre>
Créez ensuite l'image ISO 9660 :
<pre>
  mkisofs -o sortie.iso -l -J -r -L /agraver
</pre>
La deuxième étape consiste à installer le disque NetBSD/alpha et les
logiciels de démarrage à l'aide de <tt>installboot(8)</tt>.
Tapez la commande:
<pre>
  installboot -m alpha -v sortie.iso /tmp/mdec.alpha/bootxx_cd9660
</pre>


<ENTRY>i386image NetBSD/i386
Cette section indique comment faire un cédérom NetBSD/i386 démarrable.
Nous allons prendre le cas particulier d'un cédérom d'installation
NetBSD-1.5.3/i386. Considérons que vous avez le répertoire
<tt>/agraver/</tt> contenant la même structure et les même fichiers que
<a href="ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/NetBSD-1.5.3/i386/">NetBSD-1.5.3/i386</a>
Le contenu exact dépend de ce que vous voulez sur votre cédérom 
Vous devez au moins avoir
<tt>/agraver/i386/installation/floppy/boot-big.fs</tt> qui sera utilisé
comme image de démarrage.

Pour créer l'image tapez les commandes suivantes: 
<pre>
  mkisofs -o sortie.iso -b i386/installation/floppy/boot-big.fs \ 
           -c boot.catalog -l -J -r -L /agraver
</pre>
Nous obtenons un fichier <tt>sortie.iso</tt> qui est l'image du cédérom.
Les options sont:
<ul>
<li><tt>-b i386/installation/floppy/boot-big.fs</tt> -- spécifie l'image
de démarrage a utiliser.
<li><tt>-c boot.catalog</tt> -- cré un catalogue de démarrage.
<li><tt>-l</tt> -- Autorise les noms longs (32 caractères)
<li><tt>-J</tt> -- Inclue les extensions Joliet.
<li><tt>-r</tt> -- Place les permissions de fichiers.
<li><tt>-L</tt> -- Autorise les noms de fichiers commencant par "." .
<li><tt>/agraver</tt> -- Indique que le répertoire
<tt>/agraver</tt> est la racine de l'image du cédérom.
</ul>

<ENTRY>macppcimage NetBSD/macppc
Tous les modèles macppc reconnus peuvent démarrer depuis la première session
d'un cédérom. Suivant la version d'OpenFirmware que vous avez, la méthode diffère.
Reportez-vous à la page <a
href="../../Ports/macppc/models.html">NetBSD/macppc Model Support Page</a> pour
déterminer la version.

<p>Considérons que le répertoire <tt>/agraver/</tt> existe sur votre système
et contient les répertoires et fichiers de la distribution <a
href="ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/NetBSD-1.6/macppc/">NetBSD-1.6/macppc</a>.
Le contenu exact dépend de ce que voulez trouver sur votre cédéom.

<p>Assurez-vous que <tt>/agraver/</tt> possède <tt>ofwboot.xcf</tt> (le démarreur
de macppc) et le noyau (nous vous conseillons <tt>netbsd.GENERIC_MD</tt>, le noyau
d'installation qui gère tous les modèles).

<pre> 
  cd /agraver
  cp macppc/binary/kernel/netbsd.GENERIC_MD.gz netbsd.gz
  cp macppc/installation/ofwboot.xcf .
</pre> 

L'image ISO officielle de NetBSD/macppc est démarrable sur tous les modèles
gérés car elle a quelque chose de magique. Consultez <tt><a href="http://cvsweb.netbsd.org/bsdweb.cgi/basesrc/distrib/cdrom/">src/distrib/cdrom</a></tt>
si vous voulez savoir de quoi il s'agit.

<p>Pour créer une image CD pour OpenFirmware 1.0.5, 1.1.22 ou 2.0.x, tapez :

<pre>
  mkisofs -o sortie.iso -l -J -r -L /agraver</pre>

<p>Pour créer une image CD pour OpenFirmware 2.4 ou 3, tapez :

<pre>
  mkisofs -o sortie.iso -hfs -part -l -J -r -L /agraver
 </pre>
 
<p>Une fois votre cédérom gravé, assurez-vous qu'OpenFirmware peut trouver
le démarreur (consultez la question <a href="../Ports/macppc/faq.html#ofw-dir-listing">How
do I get a listing (in Open Firmware) of the files on my disk?</a> de la FAQ).
C'est important car OpenFirmware est sensible à la casse des noms. La plupart
(sinon tous) les systèmes OpenFirmware 1.0.5, 1.1.22 et 2.0.x s'attendent à
trouver un fichier <tt>OFWBOOT.XCF</tt> alors qu'OpenFirmware 3 trouve
<tt>ofwbot.xcf</tt>.

<p>Rappel : vous devez entrer dans OpenFirmware pour pouvoir démarrer sur le
cédérom. L'appui sur la touche <tt>c</tt> n'est pas suffisant.


<ENTRY>pmaximage NetBSD/pmax
NetBSD/pmax peut démarrer sur un cédérom FFS ou ISO 9660.
Dans cette section nous ferons un cédérom ISO 9660.
A noter que le programme bootxx_cd9660 n'est plus inclus <em>après</em>
NetBSD-1.4.x. Si vous tournez sous NetBSD-1.4.x, vous pouvez obtenir
<tt>boot.pmax</tt>, <tt>installboot</tt> et <tt>bootxx_cd9660</tt>
depuis un instantané de la -current. Assurez-vous que les sources
datent <em>d'après</em> novembre 1999.

Deux étapes sont nécéssaires pour créer un cédérom NetBSD/pmax
démarrable.
La première est de créer une image ISO 9660 contenant tout ce que vous
voulez mettre sur votre cédérom.
Cette image doit contenir le noyau et le programme de démarrage
secondaire à la racine.
Par ailleurs, le premier programme de démarrage sera requis à la
deuxième étape.
Pour mettre le noyau et les programmes de démarrage au bon endroit
faites :
<pre>
  cd /agraver/pmax/binary/sets
  tar -zxvf base.tgz ./usr/mdec/boot.pmax ./usr/mdec/bootxx_cd9660
  mv -f ./usr/mdec/boot.pmax /agraver/boot.pmax
  mkdir /tmp/mdec.pmax
  mv -f ./usr/mdec/bootxx_cd9660 /tmp/mdec.pmax/bootxx_cd9660
  rmdir ./usr/mdec

  cd /agraver/pmax/binary/kernel
  cp -f install.gz /agraver/netbsd.pmax.gz
  gunzip /agraver/netbsd.pmax.gz
</pre>
Créons maintenant l'image ISO 9660 :
<pre>
  mkisofs -o sortie.iso -l -J -r -L /agraver
</pre>
La deuxième étape consiste a installer le disque NetBSD/pmax et les
logiciels de démarrage à l'aide d' <tt>installboot(8)</tt>.
Cette commande est utilisée comme suit :
<pre>
  installboot -m pmax -v sortie.iso /usr/mdec/bootxx_cd9660
</pre>

<ENTRY>sparcimage NetBSD/sparc
Trois étapes sont nécéssaire à la création d'un cédérom NetBSD/sparc
démarrable.
La première étape consiste à créer une image ISO 9660 "presque" complète
de tout ce que vous désirez mettre sur votre cédérom.
Par exemple :
<pre>
  mkisofs -o output.iso -l -J -r -L /agraver
</pre>
La deuxième étape consiste a récupérer une image disquette de démarrage.
Pour NetBSD-1.5.3/sparc, cette image peut être trouvée a 
<URL>ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/NetBSD-1.5.3/sparc/installation/bootfs/boot.fs.gz.
La dernière étape consiste a écrire l'image ISO avec
(a) un disklabel sun au début, (b) l'image originale à la fin et
(c) la position et la taille du démarreur dans le disklabel.
Le programme <tt>mksunbootcd</tt> sait se charger de tout cela.
Si <tt>mksunbootcd</tt> n'est pas présent sur votre système, vous pouvez
l'installer depuis le paquetage <PKGSRC>sysutils/mksunbootcd.
Si vous créez l'image sur un sytème non-NetBSD, vous pouvez essayer de
le compiler, les sources étant disponible sur <a
href="ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/misc/mksunbootcd/">ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/misc/mksunbootcd/</a>.

Pour utiliser <tt>mksunbootcd</tt> tapez:
<pre>
  mksunbootcd sortie.iso boot.fs boot.fs boot.fs
</pre>
L'image de démarrage est écrite trois fois pour que le cédérom soit
utilisable à la fois sur les sun4, sun4c et sun4m.
Si vous avez des images différentes pour ces machines taper quelque
chose comme: 
<pre>
  mksunbootcd sortie.iso boot-sun4.fs boot-sun4c.fs boot-sun4m.fs boot-sun3.fs
</pre>
Notez que <tt>mksunbootcd</tt> réécrit le fichier <tt>sortie.iso</tt>,
ne le lancez donc pas plusieurs fois de suite.

Cette étape peut parfaitement s'effectuer dans un répertoire monté par
NFS. Par exemple si votre image se trouve sur une autre machine, vous
pouvez la monter sur votre machine NetBSD et lancer la commande
<tt>mksunbootcd</tt> sans qu'une énorme quantité de données transite par
le réseau.

<ENTRY>sparc64image NetBSD/sparc64
Le démarage de NetBSD/sparc64 sur cédérom n'est pas encore géré, mais il
est dans la liste des choses à faire. Le matériel le supporte
certainement.

<ENTRY>sun2image NetBSD/sun2
Pour faire un cédérom démarrable de NetBSD/sun2, suivez la procédure ci-dessous,
pour NetBSD/sun3. Vous obtiendrez un cédérom démarrable sur sun2 et sur sun3.

<p>
<em>Optionnel :</em> Pendant l'opération, vous avez tout interrêt à décompresser
miniroot (<tt>/cdsources/sun2/installation/miniroot.fs.gz</tt>) et
les ensembles binaires (<tt>/cdsources/sun2/binary/sets/*.tgz</tt>) pour sun2 avant d'écrire
l'image ISO. Cela n'est pas obligatoire et prend beaucoup de place sur l'image ISO
mais fera perdre moins de temps lors de l'installation car la décompression
est très lente sur sun2.

<ENTRY>sun3image NetBSD/sun3
Trois étapes sont nécessaires à la création d'un cédérom de NetBSD/sun3 démarrable.
Vous obtiendrez un cédérom aussi capable de démarrer NetBSD/sun2.

<p>
La première étape consiste à créer une image ISO 9660 "presque" complète, contenant tout ce que vous souhaitez trouver sur le CD. Par exemple :
<pre>
  mkisofs -o sortie.iso -l -J -r -L /agraver
</pre>
Ensuite, établissez une image ffs démarrable. Cette image n'est actuellement
pas incluse dans l'édition, vous devrez vous-même la construire.

<pre>
  mkdir /tmp/boot-sun3
  cd /tmp/boot-sun3
  gzip -cd &lt; /agraver/sun2/binary/kernel/netbsd.RAMDISK.gz &gt; netbsd.sun2
  ln netbsd.sun2 vmunix
  gzip -cd &lt; /agraver/sun3/binary/kernel/netbsd.RAMDISK.gz &gt; netbsd.sun3
  gzip -cd &lt; /agraver/sun3/binary/kernel/netbsd.RAMDISK3X.gz &gt; netbsd.sun3x
  tar xzvf /agraver/sun3/binary/sets/base.tgz ./usr/mdec
  mv usr/mdec/ufsboot .
  mv usr/mdec/bootxx /tmp/bootxx.sun3
  rm -rf /tmp/boot-sun3/usr

  echo /set type=file uname=root gname=wheel mode=0755 &gt; /tmp/boot-sun3.spec
  echo . type=dir &gt;&gt; /tmp/boot-sun3.spec
  echo ufsboot mode=0644 &gt;&gt; /tmp/boot-sun3.spec
  /bin/ls netbsd* vmunix &gt;&gt; /tmp/boot-sun3.spec

  makefs -t ffs -B be -F /tmp/boot-sun3.spec /tmp/boot-sun3.fs /tmp/boot-sun3

  installboot -m sun3 -v /tmp/boot-sun3.fs /tmp/bootxx.sun3 ufsboot
</pre>

Enfin, dernière étape, ré-écrivez l'image ISO avec (a) un disklabel sun
au début, (b) l'image originale à la fin et (c) la taille et position correcte,
dans le disklabel, du démarreur. Le programme <tt>mksunbootcd</tt> sait faire cela.
Si <tt>mksunbootcd</tt> n'est pas installé sur votre système, vous le trouverez dans
le paquetage <PKGSRC>sysutils/mksunbootcd.
Si vous créez cette image sur un système non-NetBSD, essayez de compiler
<tt>mksunbootcd</tt> dessus. Les sources se trouvent ici :
<a href="ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/misc/mksunbootcd/">ftp://ftp.netbsd.org/pub/NetBSD/misc/mksunbootcd/</a>.  

Voici comment utiliser <tt>mksunbootcd</tt> :
<pre>
  mksunbootcd output.iso /tmp/boot-sun3.fs 
</pre>
Notez que <tt>mksunbootcd</tt> sait aussi gérer des céréoms pour système sparc.
Il est possible de générer un cédérom démarrable sur sparc, sun2, sun3 et sun3x
en tapant quelque chose comme :
<pre>
  mksunbootcd sortie.iso boot-sun4.fs boot-sun4c.fs boot-sun4m.fs boot-sun3.fs
</pre>

Vous pouvez mettre les systèmes de fichiers dans l'ordre que vous voulez. Cela
ne change que leur numéro de partition mais dans ce cas, vous devrez donner
à la PROM la commande <tt>b</tt> ou <tt>boot</tt> pour démarrer le bon
système de fichiers de l'architecture donnée.

<p>
Notez que <tt>mksunbootcd</tt> ré-écrit le fichier <tt>sortie.iso</tt>. Lancez-le
donc qu'une seule fois.

<p>
Petite remarque, cette étape peut aussi de faire sur une répertoire monté par NFS.
Si votre image ISO est sur une autre machine, il peut être monté sur un ordinateur
sous NetBSD pour lancer <tt>mksunbootcd</tt> sans que d'énormes quantités
de données transitent sur le réseau.


<ENTRY>vaximage NetBSD/vax
NetBSD/vax peut démarrer sur cédérom FFS ou ISO 9660. Dans cette section 
nous ferons un cédérom ISO 9660.
Notez que cette possibillité n'existait pas avant NetBSD-1.5

Deux étapes sont nécéssaires à la création d'un cédérom NetBSD/vax démarrable.
La première étape consiste à créer un cédérom ISO 9660 contenant tout ce
que vous désirez mettre sur ce cédérom.
Cette image doit contenir le noyau et le deuxième programme de démarrage
à sa racine.
Par ailleurs, le premier programme de démarrage sera nécéssaire pour la
suite.
Pour mettre le noyau et le programme de démarrage au bon endroit faites :
<pre>
  cd /agraver/vax/binary/sets
  tar -zxvf base.tgz ./usr/mdec/boot ./usr/mdec/xxboot
  mv -f ./usr/mdec/boot /agraver/boot.vax
  mkdir /tmp/mdec.vax
  mv -f ./usr/mdec/xxboot /tmp/mdec.vax/xxboot
  rmdir ./usr/mdec

  cd /agraver/vax/installation/netboot
  cp -f install.ram.gz /cdsources/netbsd.vax.gz
  gunzip -f /agraver/netbsd.vax.gz
</pre>
Maintenant, créons l'image ISO 9660.
<pre>
  mkisofs -o sortie.iso -l -J -r -L /agraver
</pre>
La deuxième étape consiste à installer le disque NetBSD/vax et les
logiciels de démarrage à l'aide de <tt>installboot(8)</tt>.
Cette commande s'utilise de la manière suivante :
<pre>
  installboot -m vax -v output.iso /usr/mdec/xxboot
</pre>


<ENTRY>multiimage Machines multiples
Dans l'infrastucture de NetBSD-current,
<tt><a href="http://cvsweb.netbsd.org/bsdweb.cgi/basesrc/distrib/cdrom/">src/distrib/cdrom</a></tt>,
vous trouverez des cédéroms capables de démarrer sur de multiples machines.
Ce sont ceux qui ont été utilisés pour presser le jeu de quatre cédéroms
contenant trente-neuf plates-formes dont huit capables de démarrer
sur le CD.
Cette technologie requière <tt>mkisofs</tt> version 1.15a34 ou plus récent.

<p>
Sinon, voici comment créer manuellement des cédéroms démarrables
sur plusieurs machines.

Cette procédure à été testée avec succès pour créer un unique cédérom
démarrable sur alpha, i386, pmax et sparc.
Il devrait être aussi possible de le rendre démarrable sur
macppc, vax et sur sun2, sun3 et sun3x.
Pour créer un cédérom démarrable sur plusieurs architectures, suivez les
étapes suivantes dans l'ordre.
Veuillez noter que cet ordre est critique.

<ul>

<li>Assurez vous de posséder tous les fichiers requis, dont les divers
noyaux et programmes de démarrage listés dans les sections de chaque
architecture.

<li>Quelque part dans le répertoire <tt>agraver</tt> placez un
répertoire appellé <tt>mdec.pmax</tt> dans lequel vous mettrez le
fichier <tt>bootxx_cd9660</tt>. Par exemple
<tt>/agraver/usr/mdec.pmax/bootxx_cd9660</tt>.

<li>Quelque part dans le répertoire <tt>agraver</tt> placez un
répertoire appellé <tt>mdec.vax</tt> dans lequel vous mettrez le
fichier <tt>bootxx</tt>. Par exemple
<tt>/agraver/usr/mdec.vax/xxboot</tt>.

<li>Ajoutez le démarreur macppc <tt>ofwboot.xcf</tt> dans <tt>/agraver</tt>.

<li>Créer une image démarrable pour i386.
<pre>
 sh
 mkisofs -v -v -o sortie.iso -b i386/installation/floppy/boot-big.fs \ 
          -c boot.catalog -l -J -r -L /cdsources 2&gt;&1 | tee /tmp/mkisofs.log
 exit
 </pre>
L'option <tt>-v</tt> doit bien apparaitre deux fois.
Si vous souhaitez créer un cédérom démarrable par un modèle macppc sous OpenFirmware
3, assurez-vous que les options <tt>-hfs -part</tt> sont présentes dans les
paramètres de <tt>mkisofs</tt>.

<li> Lancer <tt>mksunbootcd</tt> sur une machine NetBSD/sparc pour
installer les blocks de démarrage sparc et sun2/sun3. Vous pouvez aussi installer le
paquetage <PKGSRC>sysutils/mksunbootcd sur votre machine NetBSD préférée.
<pre>
 mksunbootcd sortie.iso boot-sun4.fs boot-sun4c.fs boot-sun4m.fs boot-sun3.fs
</pre>
<li>Lancer le programme <tt>installboot(8)</tt> afin de gérer les blocs de
démarrage pmax.
Notez que pour cohabiter avec les autres blocs de démarrage de NetBSD, ceux de pmax
sont ajoutés à la fin du système de fichiers ISO.

<pre>
   installboot -m pmax -v -o append,sunsum sortie.iso /tmp/mdec.pmax/bootxx_cd9660
</pre>
L'option <tt>-o append,sunsum</tt> ajoute la première partie des blocs de
démarrage à la fin du système de fichiers ISO et recalcule la somme de contrôle
pour démarrer sur Sun.

<li>Lancer le programme <tt>installboot(8)</tt> afin de gérer les blocs de
démarrage vax.
Notez que pour cohabiter avec les autres blocs de démarrage de NetBSD, ceux de vax
sont ajoutés à la fin du système de fichiers ISO.

<pre>
  installboot -m vax -v -o append,sunsum sortie.iso /tmp/mdec.vax/xxboot
</pre>

(voyez ci-dessus la section sur pmax pour l'explication des options).

<li>Lancer le programme <tt>installboot(8)</tt> afin de gérer les blocs de
démarrage alpha.
<pre>
   installboot -m alpha -v -o append,sunsum sortie.iso /tmp/mdec.alpha/bootxx_cd9660
</pre>
Notez que installboot pour alpha doit apparaitre après tous les autres car
c'est actuellement la seule machine dépendant de <tt>installboot(8)</tt>
capable de calculer la somme de contrôle alpha.
(voyez ci-dessus la section sur pmax pour l'explication des options).

</ul>


<SECTION>Vérifier l'image du cédérom.
Il est possible de monter l'image cédérom pour vérifier l'integrité du
système de fichiers que vous venez de créer.

<ENTRY>netbsd_mountimage Sous NetBSD
Monter l'image cédérom:
<pre>
  vnconfig -c vnd0 sortie.iso
  mount -t cd9660 /dev/vnd0c /mnt
</pre>
Notez que sous i386 vous devez utiliser <tt>/dev/vnd0d</tt> a la place
de <tt>/dev/vnd0c</tt>.
Maintenant vous pouvez aller (cd) dans /mnt explorer l'image cédérom.
Pour démonter l'image:
<pre>
  umount /mnt 
  vnconfig -u vnd0
</pre>

<ENTRY>linux_mountimage Sous Linux
Vous pouvez aussi monter une image cédérom sous Linux, pour ce faire:
<pre>
  mount -t iso9660 -o ro,loop=/dev/loop0 sortie.iso /mnt
</pre>
et pour le démonter:
<pre>
  umount /mnt
</pre>

<ENTRY>solaris_mountimage Sous Solaris

Solaris-8 et ultérieures semblent être capable de monter des images
cédéroms.
Pour plus d'information sur la façon de faire, lisez la page de manuel
solaris <tt>lofiadm</tt>.
<P>
Pour des verions plus anciennes, vous pouvez essayer d'utiliser le
pilote <tt>fbk</tt> écrit par Joerg Schilling. Celui-ci est disponible
sur <a
href="ftp://ftp.fokus.gmd.de/pub/unix/kernel/fbk/">ftp://ftp.fokus.gmd.de/pub/unix/kernel/fbk/</a>.
Référez-vous à la documentation de <tt>fbk</tt> pour les instructions
d'installation. Dès que <tt>fbk</tt> est monté sur votre système, vous
pouvez monter l'image ISO 9660 via la commande suivante :

<pre>
  mount -F fbk -o ro,type=hsfs /dev/fbk0:sortie.iso  /mnt
</pre>
et pour démonter l'image :
<pre>
  umount /mnt
</pre>


<SECTION>Graver le cédérom.

<ENTRY>cdrecord Utilisation de cdrecord (U*nix)
Le programme <tt>cdrecord</tt> peut être utilisé pour graver l'image sur
le cédérom. <tt>cdrecord</tt> fait bien entendu partie du paquetage
<PKGSRC>sysutils/cdrecord.
L'exemple suivant vous montre comment utiliser <tt>cdrecord</tt>:
<pre>
  cdrecord -v speed=4 dev=/dev/cd1c sortie.iso
</pre>
Changez la vitesse et le périphérique, pour qu'ils correspondent
à votre graveur. (sur i386, ce devrait être <tt>/dev/cd1d</tt>)

<ENTRY>winrecord Sous Windows
Il existe de nombreux programmes pour Windows vous permettant de graver
une image ISO 9660 sur un cédérom. Cette partie ne fait de publicité pour
aucun d'eux, mais vous présente quelques choix.
<ul>
<li><a href="http://www.goldenhawk.com/cdrwin.htm">CDRWIN</a>.
Logiciel commercial permettant de créer des images ISO 9660 démarrable (sur
i386) et de les graver sur cédéroms.
<li><a href="http://www.goldenhawk.com/freeware.htm">FILE2CD</a>.
Graticiel permettant de graver des images ISO 9660 sur des cédéroms.
<li><a
href="http://www.adaptec.com/products/overview/ecdc.html">
Adaptec Easy CD Creator Deluxe</a>. Logiciel commercial.
<li>Adaptec Easy CD Creator est livré avec de nombreux graveurs pour
Windows.
</ul>

<ENTRY>macrecord Sous MacOS
Il existe de nombrex programmes disponibles pour MacOS permettant de
graver sur un cédérom une image ISO 9660. Vous pouvez par exemple
utiliser:
<ul>
<li><a
href="http://www.adaptec.com/products/overview/toast.html">
Adaptec Toast</a>.  Logiciel commercial..
</ul>


</LIST>

<DOCLINK>

<hr>
<address>
  <small>
  <a href="../Misc/feedback.html">(Nous contacter)</a>
  $NetBSD: bootcd.list,v 1.26 2002/05/30 19:48:26 jschauma Exp $<br>
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    par la fondation NetBSD, Inc. TOUS DROITS
    R&Eacute;SERV&Eacute;S.</a>
  </small>
</address>

</body>
</html>


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<title>Documentation NetBSD: Etapes a suivre pour se connecter en PPPoE
(DSL)</title>
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<HEADING>Etapes a suivre pour se connecter en PPPoE. (DSL)


<LIST>

<SECTION>Etapes a suivre pour se connecter en PPPoE. (DSL)

<ENTRY>intro Introduction
Ce document vous décrira comment se connecter a internet en utilisant
PPPoE (souvent utilisé par les fournisseurs d'accès DSL).

<p>
Nous admettons que vous utiliserez une version de NetBSD-A.5Z ou plus
récent. Si vous utilisez une version antérieure de NetBSD ne possedant
pas le support PPPoE inclus dans le noyau, nous vous suggérons
d'installer le paquetage net/rp-pppoe depuis la collection de paquetage
NetBSD. Ce paquetage inclus une commande appellée <pre>adsl-setup</pre>
qui fera tout pour vous.
<p>
PPPoE est un acronyme pour <b>P</b>oint-to-<b>P</b>oint <b>P</b>rotocol
<b>o</b>ver <b>E</b>thernet.
La configuration classique est un modem DSL (qui dialogue via votre
ligne DSL avec le routeur de votre fournisseur d'accès appellé <i>Access
Concentrator</i>) et qui est connecté à votre machine via une interface
Ethernet standard. Ainsi, vous devrez posséder une interface Ethernet
dédié a la communication avec votre modem. Une connection PPP est
établit sur cette interface Ethernet.

<p>
Voyons cela de plus pret. Vous avez une connection Ethernet, pourquoi
votre fournisseur d'accès de vous fournit pas un service IP sur celui-ci
? Certain font cela (comme pour les connections par modem cable),
utilisant DHCP pour vous attribuer une adresse IP. De nombreux
fournisseur ne le font pas car PPPoE est plus facile pour eux. Mais
c'est un peu plus compliqué pour vous. PPPoE a un MTU peu courant de
petite taille. Trouvez plus d'information <a href="#clamping">ici</a>.
<p>
Dans les exemples suivant, nous prendrons <i>ne0</i> comme nom
d'interface ethernet reliant votre modem DSL. Toute autre interface
ferait l'affaire bine evidemment.

<ENTRY>check-kernel Verifier votre noyau.
Avant de pouvoir utiliser PPPoE, vous devrez ajouter son support dans
votre noyau. Pour vérifier qu'il s'y trouve, faites:
<pre>
  ifconfig -C
</pre>
et rechercher pppoe dans la sortie. Si il n'y est pas, vous devrez
ajouter :
<pre>
  pseudo-device pppoe
</pre>
dans votre fichier de configuration du noyau.

<ENTRY>manual-test Faites un test manuel.
Avant de configurer votre machine pour se connecter automatiquement,
vous devriez faire une test de connection manuel. Ansi, si quelque chose
de fonctionne pas, ce sera plus facile de trouver l'erreur dans votre
configuration.
<p>
Tout d'abord nous créons l'interface pppoe nous même et lui assignons
une fausse adresse IP, qui sera remplacée plus tard pendant la
negociation PPP avec votre founirsseur d'accès internet. 
Pour l'instant nous laisserons l'interface non active jusqu'a ce que
tout soit prêt.
<pre>
  ifconfig pppoe0 create
  ifconfig pppoe0 inet 0.0.0.0 0.0.0.1 down
</pre>
Ensuite nous relions l'interface pppoe a l'interface ethernet utilisé
pour relier votre modem DSL. Cette interface doit être active mais ne
nécessite pas d'adresse IP.
<pre>
  ifconfig ne0 up
  pppoectl -e ne0 pppoe0
</pre>
Maintenant vous devez avoir vos paramètres d'authentification. De
nombreux fournisseurs d'accès internet fournissent une documentation sur
comment utiliser ces données sous Linux, ainsi que sous Windows.
Si vous utilisez t-online, réferrez vous a cette <a
href="#t-online-usernames">note</a>.
Entrez vos paramètres d'authentification via une commande similaire a
celle ci (remarquer que vous devrez peut être protéger les charactères
spéciaux du shell en utilisant de simple quote):
<pre>
  pppoectl pppoe0 myauthproto=pap 'myauthname=XXX' 'myauthsecret=XXX' hisauthproto=none
</pre>
avec <tt>XXX</tt> étant votre nom d'utilisateur et <tt>YYY</tt> votre
mot de passe.
L'option <tt>hisauthproto=none</tt> empeche PPP de forcer le peer a
s'authentifier, ce que de nombreux fournisseur d'accès refusent. Si
votre fournisseur d'accès supporte le protocole CHAP, mettez
<tt>myauthproto=chap</tt>.
<p>
Nous sommes maintenant prêt a tester une première connection. 
Since something may be wrong, we will restrict retries for now:
<pre>
  pppoectl pppoe0 max-auth-failure=1
</pre>
Activons l'interface:
<pre>
  ifconfig pppoe0 up
</pre>
Rien ne se passe (nous n'avons pas validé l'option "extended debugging
messages"). Si tout marche correctement, votre session PPPoE est
connecté, chose que l'on peut vérifier en faisant:
<pre>
  # pppoectl -d pppoe0
  pppoe0: state = session
          Session ID: 0x254f
          PADI retries: 0
          PADR retries: 0
</pre>
Cette sortie d'exemple, nous montre un connection fonctionnant. La
session PPPoE est établie et est en cours d'utilisation (state =
session). 
Si la sortie ne montre pas "session state", c'est que vous devez avoir
une erreur dans votre configuration d'authentification.
If the output shows non session state, you either have your authentication data wrong (see
below) or the access concentrator did not answer or establish a session,
which will show up as PADI or PADR retries. This means either your DSL
setup is not working at all, or you need to specify a service name (via
the <tt>-s</tt> option to pppoectl) or an access concentrator name (via
the <tt>-a</tt> option to pppoectl). Votre fournisseur d'accès doit vous
avoir fournit ces informations. Voir la page du manuel pppoectl(8) pour plus d'information
a ce sujet.
<p>
En admettant que votre session PPPoE est maintenant active, nous pouvons
regarder le resultat le la degociation IP de PPP:
<pre>
  # ifconfig pppoe0
  pppoe0: flags=8851<UP,POINTOPOINT,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST> mtu 1492
          inet 117.80.111.85 -> 118.5.113.169 netmask 0xff000000
</pre>
Voici le résultat d'une connection établie avec succès. Nous avons une
adresse IP locale (118.80.111.85) et une distante (117.5.113.169)
(différentes bien entendu). Si vous n'avez pas un résultat similaire,
votre authentification PPP a un problème. Re vérifier la et si possible
corriger la, sinon répéter l'opération effectué ci dessus avec pppoectl.

<ENTRY>permanent-setup Configurer une connection permanente.
Maintenant que nous avons vérifier que ça fonctionne, nous allons
configurer la machine pour qu'elle se connecte automatiquement.
<p>
Pour que votre machine se connecte automatiquement au démarrage, les
paramètres que vous avez entrer manuellement précédemment doivent être
encodé dans un script et un fichier de configuration.
<p>
Selon votre contrat avec votre fournisseur d'accès, vous pourrez choisir une connection <a href="#stay-connected">permanente</a>.
<p>
Si vous payer a la durée de connection, vous préfererez certainement une connection <a href="#connect-on-demand">a la demande</a>.

<ENTRY>stay-connected Configurer une connection permanente
Le but de cette configuration est de concerver la connection établie le plus longtemps possible, 
et de se reconnecter automatiquement en cas de déconnection.
C'est le mode par défaut.
<p>
Mettez dans <tt>/etc/ifconfig.pppoe0</tt>:

<pre>
create
# Mark the physical interface used by this PPPoE interface up
! /sbin/ifconfig ne0 up
# Let $int use ne0 as its Ethernet interface
! /sbin/pppoectl -e ne0 $int
# Configure authentication
! /sbin/pppoectl $int myauthproto=pap 'myauthname=XXX' 'myauthsecret=XXX' hisauthproto=none
# Configure the PPPoE interface itself. These addresses are magic
# meaning we don't care about either address and let the remote
# ppp choose them.
0.0.0.0 0.0.0.1 up
</pre>
Vérifier que ce fichier ne peut etre lu que par root.
<p>
Mettez dans <tt>/etc/ppp/ip-up</tt>:
<pre>
#! /bin/sh
/sbin/route add default $5
</pre>
et rendez ce fichier executable pour root.
<p>
Mettez dans <tt>/etc/ppp/ip-down</tt>:
<pre>
#! /bin/sh
/sbin/route delete default $5
</pre>
et rendez ce fichier executable par root.
<p>
Finallement, ajouter cette ligne dans <tt>/etc/rc.conf</tt>:
<pre>
ifwatchd=YES
</pre>
<p>
Vous avez terminé. L'absence du mot <tt>link1</tt> de l'interface pppoe0,
la connection s'établira des que possible, and se remontera automatiquement en cas de déconnexion
A chaque fois que la connexion est lancée, le script <tt>/etc/ppp/if-up</tt> sera lancée, 
et a chaque déconnexion <tt>/etc/ppp/ip-down</tt>. Vous pourrez utiliser ces scripts manuellement, 
pout nettoyer l'interface par exemple (une reconnexion manuelle vous permettra de vous faire 
attribuer une nouvelle adresse IP dynamiquer par votre fournisseur d'acces internet)
ou pour informer les services qui ont besoin de savoir si la connexion fonctionne (comme
un cache named par exemple).
<p>
Notez qu'au démarrage du système le daemon ifwatchd (qui execute les scripts ip-up 
et ip-down) sera probablement assez lent. La connexion PPPoE sera établie des que le fichier 
ifconfig.pppoe sera pris en compte au démarrage du support réseau.
La connexion sera établie immediatement, mais le script <tt>/etc/ppp/ip-up</tt>
n'aura pas encore été lancée. Quand ifwatchd(8) démarre, il executera le script ip-up 
même si la connexion est déjà établie. De nombreux daemon réseau démarreront en même temps,
et du fait de l'absence d'une route par défaut, n'arriverons pas a se connecter a l'extérieur.
Tuer ces daemons dans le script ip-up est une bonne idée (et résoud souvent les problèmes liées
a l'utilisation d'une ip dynamique).
L'exemple typique est de nettoyer la table NAT (translation d'adresse) et de relancer named et ntpd:
<pre>
#! /bin/sh
/sbin/route add default $5
/etc/rc.d/ntpd restart
/etc/rc.d/named restart
</pre>
<ENTRY>connect-on-demand Configuration d'une connection s'etablissant a la demande.
Cette configuration établiera la connexion PPPoE seulement quand du traffic tantera de l'utiliser.
La déconnexion surviendra après un temps d'inactivité pré-defini.
<p>La principale différence avec la configuration d'une connexion permanente est:
<ul>
<li>Le drapeau <tt>link1</tt> de l'interface pppoe0.
<li>Le temps d'inactivitée (défini a 60 secondes dans l'exemple ci-dessous) permet d'arreter la 
connexion lorsqu'il n'y a plus de traffic.
<li>La configuration du routage devra router les paquets vers pppoe0 meme lorsque l'interface n'est pas
établie.
</ul>
<p>
Mettez ceci dans votre <tt>/etc/ifconfig.pppoe0</tt>:
<pre>
create
# Mark the physical interface used by this PPPoE interface up
! /sbin/ifconfig ne0 up
# Let $int use ne0 as its Ethernet interface
! /sbin/pppoectl -e ne0 $int
# Configure authentication
! /sbin/pppoectl $int idle-timeout=60 myauthproto=pap 'myauthname=XXX' 'myauthsecret=XXX' hisauthproto=none
# Configure the PPPoE interface itself. These addresses are magic
# meaning we don't care about either address and let the remote
# ppp choose them.
0.0.0.0 0.0.0.1 link1 up
! /sbin/route add default -iface 0.0.0.1
</pre>
<p>
<p>Il n'est pas nécessaire d'utiliser ifwatchd dans cette configuration, la route par défaut
étant permanente, est ayant été définie au préalable dans la configuration.
Si vous souhaitez être averti en cas de déconnection ou de changement d'adresse, vous devriez configurer
ifwatchd et utiliser <tt>/etc/ppp/ip-up</tt> ainsi que <tt>/etc/ppp/ip-down</tt>.
Regardez au chapitre  <a href="#stay-connected">connexion permanente</a> pour avoir un exemple.
(mais ne changez pas la route par defaut).

<ENTRY>clamping Configurer le NAT avec MSS-clamping
Certains systèmes situés derrière des firewalls mal configurés tante d'utilise 
Path-MTU-Discovery, quand leur firewall bloques tous les paquets icmp.
Généralement vous n'aurez pas a toucher a cela.

<p>
Sans configuration spéciale et comme dit précédemment, vous ne pourrez pas 
envoyer de large paquets a un système connécté en PPPoE. 
Mais il y a une astuce consistant a envoyer un petit MSS (maximum segment size)
pendant l'initialisation de la connexion TCP.
<p>
Cela se fait en mettant a 1, la varaible sysctl net.inet.tcp.mss_ifmtu.
Pour ce faire, ajouter
<PRE>
# Obey interface MTUs when calculationg MSS
net.inet.tcp.mss_ifmtu=1
</PRE>
a votre /etc/sysctl.conf.
Pour les connexions en provenances des machines situées derrière votre router PPPoE, 
vous devez définir mssclamp dans votre configuration de NAT.
Par exemple:

<PRE>
map pppoe0 192.168.1.0/24 -> 0/32 portmap tcp/udp 44000:49999 mssclamp 1452
map pppoe0 192.168.1.0/24 -> 0/32 mssclamp 1452
</PRE>

Si vous n'utilisez pas NAT, vous devez configurer comme ceci:

<PRE>
map pppoe0 x.x.x.x/24 -> 0/0 mssclamp 1452
</PRE>

</LIST>

<H2><a name="t-online-usernames">Side note for t-online users</a></H2>
So vous avez utilisé une connexion Numeris t-online auparavent, noter que les 
nom d'utilisateur de T-DSL sont différent de ceux de Numeris.
Les noms d'utilisateurs DSL ont besoin du suffix <tt>@t-online.de</tt>.
Ainsi le nom complet est de la forme <tt>000XXXXXXXXXYYYYYYYYYYYY#0001@t-online.de</tt>
<hr>

<DOCLINK>

<hr>
<address>
  <small>
  <a href="../Misc/feedback.html">(Nous contacter)</a>
  $NetBSD: index.html ,v Exp $<br>
  <a href="../Misc/disclaimer.html">Copyright &copy; 2000-2002
    par la fondation NetBSD, Inc. TOUS DROITS
    R&Eacute;SERV&Eacute;S.</a>
  </small>
</address>

</body>
</html>

--uAKRQypu60I7Lcqm--